Salud

Caminar puede ser una buena herramienta para no estar mal, pero no para estar bien. No es suficiente. El músculo necesita un estímulo de mayor tensión mecánica para protegerse

Caminar puede ser una buena herramienta para no estar mal, pero no para estar bien. No es suficiente. El músculo necesita un estímulo de mayor tensión mecánica para protegerse
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  • Publishednoviembre 25, 2025

Combattre la sédentarité, perdre du poids de manière efficace et durable, choisir le type d’exercice le plus approprié quand on a peu de temps, contrecarrer toute une journée de travail sur chaise, gagner en qualité de vie à l’avenir, faire de l’exercice pendant la ménopause… Ce sont quelques-uns des sujets qui nous préoccupent le plus et qui reviennent souvent dans de nombreux articles de Bodymente. À propos de chacun d’eux, nous voulions parler avec Felipe Isidro, Professeur d’exercice physique et responsable de l’activité physique du groupe PronoKal.

Auteur de nombreux articles, livres et guides, il est aujourd’hui l’un des plus grands experts de l’exercice physique dans notre pays, c’est pourquoi il est fréquent de le retrouver dans son rôle de diffuseur dans tous types de médias, conférences et podcasts. Sans oublier votre conseils aux professionnels de santé. Dans cette interview, il nous offre sa vision sur de nombreuses questions actuelles liées à l’exercice, basée sur son expérience, ainsi que sur les preuves scientifiques, par lesquelles il est toujours régi.

Felipe IsidroFelipe Isidro

Felipe Isidro

-Pourquoi devenons-nous lents avec l’âge ?
Avec l’âge, plusieurs changements physiologiques se produisent qui affectent directement notre capacité à appliquer une force : la masse musculaire diminue (surtout les fibres rapides), davantage de graisse corporelle s’accumule (surtout la graisse viscérale) et la capacité cardiorespiratoire est réduite. À cette perte naturelle s’ajoute un facteur déterminant : l’inactivité.

A partir de 40 ans, si on n’entraîne pas la force, Nous pouvons perdre jusqu’à 8 % de masse musculaire chaque décennieet cette perte est accélérée en cas de surpoids ou d’obésité. L’excès de graisse corporelle génère une inflammation chronique de faible intensité, qui à son tour aggrave la dégradation des nerfs, des muscles et des os.

C’est un cercle vicieux : plus on a d’excès d’adiposité et moins on a de muscles et d’os, plus il est difficile de bouger, et moins on bouge.



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